Entrez dans l'arène! Ca tourne dans le cycle...

Là ou le soleil brûle et nous saoule de sa lumière, là ou la gloire éternelle est éphémère. Là ou le monde s'arrête hypnotisé, retient son souffle espère vénère maudit, là ou les héros se font et se détruisent. Tu as peur? Ressentir le contraire ce serait faire preuve de d'inconscience.

Viens, participer à ce tourbillon incontrôlable d'ou tu ne seras que de passage ou tel un dieu tu maltraiteras le sol qui te nourrit de survivra et qui finira par t'avaler. Tu es de passage alors rends toi compte du voyage et vogues comme tu peux. Tu devras savoir appréhender la nature, elle te survivra, elle est la seule à pouvoir prétendre d'épouser l'éternité.

Bienvenue, ici ou la mort par décomposition nourrit les plantes et te permets de respirer. Des mots qui donnent qui donne le tournis, va t-on comme des millions avant/après nous vénérer la nature qui gère la vie depuis la mort et vice versa, oui venez avec moi vous emprisonné dans ces clichés assomants car trop grands pour être ignorés. Pas de dieu aussi grand pour moi je suis assez impressioné comme ça par ce cycle à la cohérence idyllique. Rêves à cette douce réalité, admires les poètes et méfies toi des prophètes, ils portent la plupart du temps les mêmes couleurs et nous passerons ensemble notre temps à essayer de les distinguer les uns des autres.

Sacré bordel, joli chaos qui maudit l'ordre la sécurité, yin/yang et tout à réinventer, toujours...