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Saillie de clichés.
6 février 2017

6/2/17, 9h29 (écrit à cette heure là alors que j'étais en surveillance de devoir, faut bien s'occuper)

Sauvons les éditorialistes politiques!

Leur fonction est menacée!

Ils sont perdus face au brouillard du paysage politique actuel et leur espèce est donc en danger.

Si nous ne prenons pas garde, à terme cette partie de notre population est amenée à devenir une espèce menacée.

Regardez comme on les retrouve si souvent pris dans les filets de l'impossible tenue de leur apparente et voulue (ou non) impartialité.

Chaque jour partout dans le monde un éditorialiste qui se veut neutre se retrouve piégé par les mots qui s'échappent de son discours, à terme la propension aux graves déprimes (pouvant mener jusqu'au suicide publique, politique à physique) est un risque qui les guette à chaque instant. Il faut agir pour les sauver d'eux-mêmes.

Chacun mérite de sauver son métier quand bien même il serait mal exécuté et qu'il reviendrait à le renvoyer à son inutilité, son obsolescence. Chacun mérite notre aide quand il est menacé de destruction.

Le prisme politique a façonné leurs regards les a fait vivre, avancer, il serait cruel donc de les juger responsables de leur aveuglement. Ils le subissent depuis trop longtemps pour changer leur façon d'être maintenant.

La vie politique est montée tel un spectacle, que devraient ils faire? Devenir critique artistique?

Cet écart ils se refusent à le faire car ils condamneraient ainsi l'essence même de ce qui fait leur métier. Cet écart serait synonyme d'affaiblissement, d'une perte de noblesse que subirait leur fonction.

Non au déclassement social de l'éditorialiste! Non au banissement social de cette minorité audible!

Ne vous laissez pas avoir par la virilence des cris qu'ils assènent dans leurs discours qui sont parfois si violents qu'ils heurent en beaucoup d'occasions certains tympans trop délicats, ils ne sont, que le symbole, l'expression de leurs blessures qui s'expriment, l'égal de cris d'alarme qui craignent de subir une lente agonie!

Demain ils écriront diront vocifèreront encore mais jusqu'à quand?

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